Nous reproduisons ci-dessous en entier, avec le lien, l'article scandaleux du surnommé Nissim Behar (ce n'est pas son vrai nom - il a repris le nom d'un illustre directeur de l’école de l’Alliance israélite universelle du début du 20e siècle, voir ici), journaliste à Libération, correspondant du journal en Israël. La mention de "Billet" en haut de son article ne peut excuser le fait qu'un correspondant d'un journal comme Libération, censé rendre compte de faits, pratique une telle désinformation !
Ce n'est pas la première fois que ce pseudo-journaliste qui ne fait en fait que de l'opinion déguisée en articles d'informations, énonce des contre-vérités, et il faut le suivre régulièrement pour comprendre son obsession anti-israélienne, son outrance et sa disproportion à l'égard d'Israël, qui semble parfaitement correspondre à la nouvelle haine antisémite défendue brillamment par Gille-William Goldnadel dans son Nouveau bréviaire de la Haine dès 2001. Ce n'est donc pas nouveau. Mais il faut lire l'article ci-dessous pour comprendre à quel point il pratique la désinformation.
En effet, dans son article sur le verdict du procès d'Elor Azaria, on ne trouve pas un mot - dans tout l'article et pas seulement dans le titre comme c'est souvent le cas avec d'autres médias et/ou agences de presse - sur le fait que le soldat a achevé un TERRORISTE. Et non pas un simple passant. Car c'est ce qu'on pourrait croire à la lecture de son article où le soldat est traité de "meurtrier" et de "tueur" pour avoir achevé un terroriste qui venait d'attaquer l'un de ses amis au couteau en criant "Allah Wakbar".
Même le mot "assaillant", coqueluche de la presse française pour désigner les terroristes arabo-palestinistes et ne surtout pas dire "terroriste" si ce n'est à la limite entre guillemets (précaution qui n'est pas prise en revanche dans d'autres cas, voir ici), même ce mot n'est pas écrit. Non, Azaria aurait tiré comme ça, au hasard ! Nissim Behar de Libération suggérerait-il peut être que c'est Azaria le terroriste ? Quel article puant ! Quel personnage puant que ce faux Nissim Behar !
On lui fera remarquer enfin son hypocrisie lorsqu'il écrit encore : "Ailleurs, dans les sociétés démocratiques, le comportement du Franco-Israélien aurait sans doute déclenché une volée de protestations." VRAIMENT ? Que je sache, il n'y a pas eu de "volée de protestations" pour le soldat américain qui a tué Ben Laden dans sa chambre alors que ce dernier n'était même pas armé ! Que je sache, il n'y a pas eu de "volée de protestations" pour le soldat français qui a tiré 5 balles sur le terroriste du Louvre ! Que je sache, il n'y a pas eu de "volée de protestations" pour les 2000 balles tirées pour la capture des terroristes retranchés à Saint Denis après l'attaque du 13 novembre, 2000 balles tirées par les forces de sécurité alors qu'en vérité, les terroristes n'étaient semble-t-il même pas armés comme on nous l'a laissé croire ! Il n'y a pas eu de "volée de protestations" lorsque les forces de sécurité ce même jour ont tiré sur une femme qu'on nous a fait passer pour la "première kamikaze d'Europe" ! Et il n'y a pas eu de "volée de protestations" non plus pour faire la lumière sur les circonstances qui ont provoqué la mort des terroristes du Bataclan ! Non, il n'y en a pas eu et c'est normal !
Bien au contraire, en Israël, le soldat Azaria a fait l'objet d'un procès médiatisé de huit mois qui a divisé toute une société. Et pourquoi ? Pour avoir, semble-t-il et d'après le verdict de la justice, achevé un terroriste ! Un terroriste qui venait de perpétrer une attaque ! Pas un passant.
Mais ce ne sera jamais suffisant pour les irréductibles ennemis d'Israël (voilà pourquoi soit dit en passant nous pensons que cette volonté israélienne et judaïque de vouloir 'montrer patte blanche" est contre-productive).
Aussi, à la lumière de ce qui suit, je réclame la démission de Nissim Behar !
Méïr Ronen - 22 février 2017
Méïr Ronen - 22 février 2017
" Article de Libération :
Billet
En Israël, un soldat meurtrier s’en tire avec les honneurs
Les pays se choisissent des héros à leur image. Depuis un
an, celui de 65 à 70 % des Israéliens, selon les sondages, s’appelle
Elor Azaria, un soldat franco-israélien condamné mardi à dix-huit mois
de prison pour avoir, en mars 2016, achevé au sol un Palestinien blessé.
A peine âgé d’une vingtaine d’années, bouille ronde, air modeste et
sourire en coin, Azaria est l’un de ces nombreux soldats ordinaires qui
peuplent les rangs de Tsahal, l’armée de l’Etat hébreu. Sauf que lui
n’est pas devenu emblématique pour ses faits d’armes, mais pour le
meurtre qu’il a perpétré sans savoir qu’une caméra de l’ONG B’Tselem le
filmait. Ailleurs, dans les sociétés démocratiques, le comportement du
Franco-Israélien aurait sans doute déclenché une volée de protestations.
Mais pas en Israël, où Benyamin Nétanyahou s’est empressé de téléphoner
aux parents du tueur pour leur exprimer sa compassion après qu’une
enquête eut été ouverte. On a aussi vu le futur ministre de la Défense
Avigdor Lieberman donner l’accolade au soldat lors de la première
audience de son procès. Certes, en mars 2016, des voix se sont élevées
pour exiger des sanctions. Mais dans l’ensemble, le peuple ne comprend
pas pourquoi la justice militaire cherche des noises à ce bon petit gars
«qui ne fait que son devoir». Etonnant dans un pays qui se veut «la seule démocratie du Proche-Orient»
? En fait, ce manque d’empathie est le résultat de cinquante ans
d’occupation des Territoires palestiniens par Israël. Durant lesquels
les Israéliens ont appris à tellement mépriser les Palestiniens qu’une
partie d’entre eux en est arrivée à trouver normal de leur tirer une
balle dans la tête lorsqu’ils sont au sol.
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