Home » , , , » La ligne de démarcation : patriotisme face à internationalisme !

La ligne de démarcation : patriotisme face à internationalisme !


L'anti-islamisme et le pro-islamisme d'aujourd'hui rappellent à s'y méprendre l'anti-nazisme et le pro-nazisme de jadis.
Ceux qui affirment sans sourciller que les collabos avec les nazis lors de la Seconde Guerre Mondiale étaient de droite et d’extrême droite, se trompent lourdement : Non seulement, cela est faux, mais c'est aussi un mensonge flagrant !
C'est au contraire dans la gauche dite "pacifiste" et internationaliste qu'on trouva le plus de serviteurs aux bottes des nazis, de ceux qui prônaient la "Paix des braves" et qui soutenaient l'accord entre Hitler et Staline !
Certes, les pseudo-Historiens d'aujourd'hui affidés à la "gauche", font porter sur les partis de droite et d'extrême droite, la responsabilité des délations, des trahisons, des crimes, des déportations, et du Vel d'Hiv tous perpétrés par le gouvernement de Vichy, Mais cela est une vision tronquée ! Les premiers résistants français antinazis étaient issus des rangs de "l’Action Française", un mouvement d'extrême droite ultra-nationaliste et germanophobe. Tandis que le gouvernement de Vichy a été majoritairement voté par des députés de la gauche "pacifiste" comme la SFIO.
Ainsi François Mitterrand était à ses débuts un "vichyssois" de gauche ! Tout comme Doriot, Déat, Cocteau, Aymé, Giono, Bergery, Jouvenel, Sicard, Perrin, Rives, Levillain, Jamet, et bien d'autres qu'il serait fastidieux de tous les mentionner, comme par exemple Robert Jospin, le père de l'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin.
A ces "pacifistes gauchistes vichyssois", il faut ajouter ceux qui furent même ministres ou hauts-fonctionnaires dans le gouvernement de Pétain comme Augier, Balestre, Baudrillart, Bonnet, Bousquet, Brigneau, Chautemps, Emery, Gérin, Goguillot, Hersant, Monnet, Papon, Planche, Spinasse, etc…
D'ailleurs, René Bousquet, le secrétaire général de la police de Vichy et le principal responsable de la déportation de dizaines de milliers de juifs de France et le mentor de François Mitterrand, appartenait au "centre gauche républicain", parti ultra-pacifiste !
Jean-Patrick Grumberg ajoute que cet inventaire non exhaustif de la "Gauche collaboratrice de la honte" – comme il la nomme - demande à être complété avec Georges Gustave Hollande, le père de l'ancien Président de la République François Hollande, dont la biographie sur "Wikipédia" a été rabotée et blanchie de ses scories collaboratrices !
Quant à Georges Suarez, le dirigeant des "étudiants révolutionnaires de gauche", il fut un exemple frappant de ce passage du pacifisme internationalisme au soutien total au nazisme. Au nom de de la "réconciliation franco-allemande", il devint, sous Vichy, un pronazi enthousiaste, et fut d'ailleurs lors de la libération, le premier homme politique à être jugé pour collaboration.
Et c'est cette gauche pacifiste, européiste, internationaliste, cosmopolite, qui aujourd'hui est pro-islamiste et prône d'imposer une immigration musulmane de masse pour à terme supplanter les "anciens citoyens de souche française".
Il ne faut donc pas s'y tromper ! Le combat d'hier contre le nazisme était loin d'être l'apanage de la gauche ! Il y eut certes des résistants "patriotes de gauche", mais il y eut non moins de résistant antinazis "patriotes de droite". La ligne de démarcation n'était donc pas gauche-droite, mais "patriotes" et "collabos".
De même aujourd'hui, le combat contre l'islam, est exclusivement celui des patriotes contre les collabos "pacifistes internationalistes" de toutes les factions et les horizons politiques.
David A. Belhassen

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire

Rechercher dans ce blog

Le + lu cette semaine

Fourni par Blogger.